UNION DEPARTEMENTALE CFTC DES HAUTS DE SEINE


61, Jardins Boieldieu, 92800 Puteaux La Défense 8
Tél : 09 81 42 02 77 - Fax: 01 47 75 24 55
Parking : Boieldieu (rouge) - RER A La Défense - Ligne 1 - T2

Adresse mél : contact@cftc92.fr - Site web : cftc-ud92@blogspot.com

Articles les plus consultés

A la une

FORUM : LES ORDONNANCES MACRON ET LEUR APPLICATION PRATIQUE - JEUDI 18 JANVIER 2018

L'union Régionale Île de France CFTC, en collaboration avec les Unions Départementales organise un forum le  JEUDI 18 JANVIER 2018,...

Philippe Louis prend officiellement les rênes de la CFTC

Philippe Louis prend officiellement les rênes de la CFTC

(AFP) – 12 nov. 2011 POITIERS —

Philippe Louis, 55 ans, a pris vendredi officiellement la présidence de la CFTC, à l'issue du 51ème congrès de la confédération chrétienne, a annoncé le syndicat dans un communiqué. Pascale Coton, 47 ans, notamment spécialiste du dossier des retraites, devient secrétaire générale de la CFTC et Bernard Sagez trésorier. Elu pour trois ans, Philippe Louis, ancien cheminot alsacien, succède à Jacques Voisin, dont il était le numéro 2.

Le bureau confédéral compte en outre trois vice-présidents Jean-Louis Deroussen, Michel Coquillion et Joseph Thouvenel et un secrétaire général-adjoint Pierre Mencès. Lors de ce congrès, la CFTC s'est prononcée pour le maintien de son indépendance et de ses valeurs chrétiennes malgré la loi de la représentativité qui assombrit son horizon.

"La CFTC parce qu'elle est porteuse de sens et du lien susceptible de fournir à notre société la cohésion sociale qui lui fait défaut redevient elle-même une solution crédible pour les travailleurs et leur famille", a fait valoir Philippe Louis en clôturant le congrès.

Copyright © 2011 AFP. Tous droits réservés.

La CFTC veut supprimer 277 députés

AFP Publié le 06/11/2011 à 13:17


Après la CGT et FO, la CFTC a également condamné dimanche une éventuelle nouvelle journée de solidarité et a avancé une "contre-proposition" pour des économies budgétaires: réduire de 577 à 300 le nombre des députés pour un gain annuel de "277 millions d'euros".

La possibilité d'une seconde journée de solidarité dans le cadre des nouvelles mesures de rigueur que le gouvernement annoncera lundi avait été évoquée samedi mais, selon des sources gouvernementales dimanche, elle "tiendrait moins la corde".

Dimanche matin, les leaders de la CGT, Bernard Thibault, et de FO, Jean-Claude Mailly, s'étaient élevés contre cette mesure.

"Tout travail mérite salaire", a affirmé de son côté auprès de l'AFP Joseph Thouvenel, secrétaire général adjoint de la CTFC, en rejetant une telle mesure.
Mais, "on a des problèmes budgétaires, il faut trouver de l'argent" et "la CFTC avance des contre-propositions".

"Aujourd'hui nous avons 577 députés, alors qu'une très grande majorité des textes qui nous régissent viennent de l'Europe. Donc on n'a sans doute pas besoin de conserver 577 députés, passons à 300 parlementaires, c'est largement suffisant", affirme le responsable de la CFTC.

Selon son calcul, le coût annuel d'un parlementaire "c'est un million d'euros", en comptant indemnités, collaborateurs, avantages divers... "Donc 277 députés de moins, cela fait 277 millions d'euros de gagnés par an".

Par ailleurs, selon M. Thouvenel, l'effort "doit être partagé" et une éventuelle nouvelle journée de solidarité devrait toucher "toutes les professions qui n'étaient pas concernées" par la première. "Qu'on prenne une journée de revenu aux professions libérales, aux artisans, aux commerçants, aux rentiers", propose-t-il.

Selon lui, la "logique du gouvernement" est de "passer d'une journée de travail gratuit à deux, puis trois". "Pourquoi ne pas mettre les salariés à travailler gratuitement pendant un mois ?", ironise-t-il.